Intempéries du jour
Nombreux clients sur le quai vers 9 H et pas mal aussi au guichet d' AVIS quand on a annoncé la suppression de cette ultime possibilité.
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Ce blog n'est plus le blog de l'association. C'est un blog d'un individuel. Afin de laisser un message, envoyez un message à usagers.parisgranville@gmail.com Et pensez à signer vos messages si vous le désirez.
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mardi, mars 23, 2010
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lundi, mars 22, 2010
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Bonjour,
Vous pouvez retrouver les horaires de demain sur http://www.ter-sncf.com/Regions/basse_normandie/Fr/Etat_du_trafic/Default.aspx
Pour le moment, ceux sont correspondants aux deux images jointes à ce message.
Cordialement
François MINARET
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lundi, mars 22, 2010
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En regardant sur infolignes, j'ai pu remarquer que le 3440 (arrivé Paris à 18h19) avait subi 50mn pour perturbation sur le réseau.
La réalité est toute autre, il n'y avait pas de contrôleur au départ de Granville.
Le retard est dû au temps d'acheminement du contrôleur se trouvant à Argentan et qui devait assurer un autre train au départ de Dreux (train qu'il a d'ailleurs ensuite).
En continuant à regarder sur le site infolignes, on a pu découvrir que la navette au départ de Dreux avait circulé normalement. En fait, ce n'était encore une fois pas la réalité car la navette n'a pas pu partir avant l'arrivée du train ci-dessus car le conducteur et le contrôleur était dedans.
Merci encore pour cette gestion du personnel peut-être un poil trop tendu.
François
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mercredi, mars 17, 2010
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Bonjour,
La SNCF s'en prend à une association d'usagers pour utilisation d'un mot tabou.
Pour retrouver le blog et l'association
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vendredi, mars 12, 2010
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Saint-Lô, le 10 mars 2010
Monsieur le Président,
C'est avec la plus grande attention que j'ai pris connaissance du questionnement que vous m'avez adressé au nom des membres votre association.
Il fait bon vivre en Basse-Normandie et la proximité avec la région parisienne peut permettre, en principe, de résider dans l'un de nos départements tout en travaillant – au moins partiellement – à Paris. En outre, la ligne Paris/Granville est essentielle pour le désenclavement du sud Manche et de l'Orne. Enfin, elle est un impératif pour notre région touristique, en particulier avec le Mont Saint-Michel proche de son extrémité.
Cependant, le service actuellement proposé rend incertaine la satisfaction de ces missions. Un court moment passé sur votre blog permet, s'il en était besoin, de mesurer la situation ainsi que votre exaspération face aux retards quasi quotidiens. Or, le ferroviaire est en partie une compétence régionale ; surtout, une ligne de train est un élément majeur d'aménagement du territoire. A juste titre, « le Paris/Granville » est donc au cœur du débat des élections régionales.
C'est avec soulagement que j'ai accueilli l'accord du 9 décembre dernier. Sollicitée par l'association Normandie Grande Vitesse (coprésidée par le député Jean-Yves COUSIN), la SNCF s'est engagée aux côtés de la Région. Ce sont là des premiers pas : un plan d'action à court terme, la poursuite de l'exploitation garantie jusqu'en 2030 et le renforcement des installations de maintenance à Granville. Enfin, la négociation a conduit à la commande de 15 rames bi-mode, livrables à partir de l'été 2013.
Je me réjouis de ces avancées mais ne peux m'empêcher de penser au temps perdu. En effet, l'attention accordée à la problématique du Paris/Granville depuis un an met davantage en lumière l'inaction du Conseil Régional sur ce dossier entre 2004 et 2009. Quelques vérités doivent être rappelées. La situation ne serait pas tant critique aujourd'hui si Philippe DURON, tout juste élu président de Région en 2004, n'avait pas abandonné la précommande de matériel roulant, constituée par son prédécesseur René GARREC : il a donc fallu attendre 2009 pour que ce matériel soit finalement commandé, soit cinq années gâchées mais aussi 30 millions d'euros supplémentaires sur la facture. La situation ne serait pas tant critique si Philippe DURON avait poursuivi les études – lancées avant mars 2004 – au sujet de la liaison de la ligne Paris/Granville avec le Mont Saint-Michel.
Mes colistiers et moi-même nourrissons l'ambition d'un aménagement équilibré de la Basse-Normandie : celui-ci suppose notamment un bon maillage de transport, donc un engagement sincère et fort dans cette politique. Or, de l'investissement ferroviaire « exceptionnel » de la majorité de Laurent BEAUVAIS, je ne vois pas grande trace. Le budget ferroviaire a certes augmenté (c'est la moindre des choses lorsque l'on prétend vouloir concentrer les crédits du transport sur le train), mais de moins de 20 millions d'euros entre 2004 et 2009 alors que la ligne des opérations routières a diminué de 40 millions. Le compte n'y est pas !
Dans ces conditions, notre objectif pour la ligne Paris/Granville est clair : il faut investir utilement. La peinture fraîche dans les gares, c'est bien ; des trains à l'heure, c'est mieux. Cela n'exclut pas, bien sûr, la plus grande vigilance quant au respect, par la SNCF, des engagements de qualité. Une bonne communication en gare et dans les trains – lors des retards – ne coûte rien de plus mais relève du respect dû à l'usager.
Plus directement, nous travaillerons donc à l'amélioration de l'infrastructure même de la ligne. Contrairement aux discours de la majorité sortante, le Conseil Régional est fondé à le faire, et même doublement. Il faut d'abord rappeler que la ligne Paris/Granville accueille plusieurs trajets TER qui relèvent de la compétence de la Région. De plus, la loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement est venue formaliser des pratiques admises depuis toujours : « Les Régions pourront contribuer à cet effort [de l'Etat et de ses établissements publics] pour l'entretien et la régénération du réseau ferroviaire. Cet effort financier sera notamment destiné à des dépenses d'investissement et de fonctionnement sur les lignes qui jouent un rôle réel de désenclavement » (art. 11).
Les chantiers de l'électrification et de la liaison avec le Mont Saint-Michel sont deux projets lourds, non dénués de lien entre eux. Ce sont des chantiers de longue haleine et il est de notre devoir de remarquer que leur achèvement n'est, malheureusement, pas pour demain. C'est donc une exigence de les défendre au plus tôt auprès de la SNCF et de RFF.
Espérant avoir répondu à votre attente, je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l'assurance de mes sentiments les meilleurs.
Jean-François LE GRAND
Tête de liste de la majorité présidentielle aux élections régionales 2010 de Basse-Normandie
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jeudi, mars 11, 2010
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Je passe le fait d'avoir mis environ 4h30 pour rentrer chez moi suite à divers incidents dont la SNCF va savoir dégager sa responsabilité comme à chaque fois et qui bien sûr n'en rendra pas compte dans ces jolies affiches de régularité comme celle du mois de janvier.
Ce qui m'exaspère c'est qu'il a été pris la décision de faire arrêter le train à HOUDAN ! depuis quand on redevient un train de banlieue le soir, cette époque est révolue
et pour les personnes qui visaient la navette à Dreux et qui étaient coincées pendant environ 1h30 dans les trains de banlieue de 17h10 et 17h23 au départ de Paris quelles solutions ont été envisagées ?
vous aviez pourtant le temps de prévoir un bus au départ de Dreux non ?
Avez-vous au moins pensez à nous, bien sur que non
Comme d'habitude on s'est pelé le cul dans cette gare glaciale de Dreux ! (environ 40 minutes d'attente)
Raz le bol de cette ligne de MERDE !
Usagère usée
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mercredi, mars 10, 2010
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vendredi, mars 05, 2010
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vendredi, mars 05, 2010
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Argentanais et usager avec ma famille de cette ligne depuis longtemps, je suis extrêmement sensible à ce sujet. Depuis que je suis président de Région, c'est probablement un de ceux auxquels j'ai consacré le plus d'attention et d'effort. Je suis profondément convaincu que cette ligne est vitale pour l'Orne et le sud de la Manche.
Le problème de la ligne Paris-Granville ne date malheureusement pas d'hier. On a peine à l'imaginer aujourd'hui face à sa fréquentation, mais cette ligne a failli être fermée dans le passé. Il faut reconnaître aux majorités régionales qui nous ont précédé le mérite d'avoir contribuer à ce sauvetage. Mais nous payons aujourd'hui les conséquences de choix faits à cette époque comme la suppression de la deuxième voie entre Argentan et Granville et l'achat de rames (les 72500) qui nous ont valu de grandes difficultés et nous forcent à anticiper leur remplacement. En matière ferroviaire, sur cette ligne comme dans toute la région, nous payons cher le sous investissement de la majorité qui nous a précédés pendant 18 ans et qui a objectivement donné la priorité à la route. Nous avons doublé les investissements mais, il s'agit d'un domaine où les effets ne se ressentent qu'à long terme.
Le grand paradoxe de cette ligne est qu'il s'agit d'une ligne nationale relevant exclusivement de la SNCF donc de l'Etat et que la Région est amenée, contrainte et forcée, à y intervenir massivement pour préserver son territoire …Il faut méditer cette logique de subvention inversée du régional au national alors que l'égalité des territoires devant le service public devrait entraîner le contraire…On peut aussi méditer sur l'attitude des parlementaires de la majorité gouvernementale qui mène cette politique. Dans l'opposition régionale, ils critiquent nos dépenses alors que nous passons notre temps à compenser les désengagements de l'Etat…
Depuis 2004, face à ce scandale subi, la majorité actuelle a été pragmatique. Elle a agi sur tous les leviers dont elle dispose pour améliorer la situation.
Sur le matériel. Elle a investi dans la fiabilisation des 15 X 72500 en 2005-2007 pour près d'un demi million d'euros. Elle a apporté près de 8,5M€ à l'acquisition de deux nouvelles rames fin 2007. Au sortir de la crise du 1er trimestre 2009, elle a accepté de financer la location aux Pays de la Loire d'une rame supplémentaire pour un coût de 1M€ par an. Pourtant, ces rames sont encore la source de près du tiers des incidents. Nous avons donc décidé de les changer au plus vite et ne pas attendre 30 ans comme la SNCF le voulait ! Pour cela, la Région doit financer quasiment la totalité de l'achat des rames soit 148M€. Ces 15 rames, nouvelle génération, dites Régiolis offriront un confort optimisé pour le voyageur, avec notamment plus d'1/3 de places supplémentaires. Les livraisons commenceront dès juillet 2013. Pour entretenir ces rames, c'est aussi la Région qui doit investir 22M€ dans un nouveau centre de maintenance qui se situera à Granville.
Sur les infrastructures (rails, passages à niveau…). C'est une source importante de difficultés. La question a trop longtemps été laissée en plan. Or, c'est un domaine où l'action ne peut se faire qu'à long terme. Les études elles-mêmes prennent plusieurs années. Nous avons négocié avec l'Etat pour inscrire cette question dans le contrat de projet 2007-2013 où nous avons fait figurer une première tranche de 9M€ d'euros pour les études et les premiers travaux. Les études ont été lancées en 2008. Elles portent sur les suppressions de passages à niveau ; le rétablissement de doubles voies et plusieurs autres aspects dont, principalement l'électrification. Chacune de ces actions doit contribuer à améliorer la fiabilité, la régularité, le confort et les temps de parcours de cette ligne. Le coût de l'ensemble des ces travaux est évalué à 625M€. Ils ne se termineront pas avant 2017. D'ici 2015, la Région a prévu un financement de 50 à 100M€ selon le degré d'avancement des travaux d'infrastructure.
Sur l'action d'amélioration à court terme. La Région ne peut avoir d'action directe à court terme si ce n'est une action de pression sur la SNCF ou le Gouvernement au nom des usagers. Je ne reviendrai pas sur les multiples épisodes dans ce domaine. La presse a généralement retenu ma décision de suspendre les paiements à la SNCF face à l'accumulation scandaleuse des dysfonctionnements de la ligne fin 2008- début 2009. Nous avions obtenu des dédommagements pour les usagers, des pénalités renforcées de la SNCF et d'autres dispositions…Plus récemment, j'ai obtenu de Guillaume Pepy que notre nouvel engagement manifesté par la décision de financement des nouveaux matériels soit assorti très rapidement de garanties de qualité et d'un plan « Réagir » d'amélioration pérenne de la situation à court terme. Celui-ci est en voie de mise en œuvre. Je sais que les responsables de la SNCF ont conscience de la nécessité d'améliorer vite les résultats de la ligne. S'en donnent-ils les moyens alors que la Région est totalement engagée dans l'avenir du Paris-Granville ?"
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mercredi, mars 03, 2010
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lundi, mars 01, 2010
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