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lundi 7 juillet 2008

Y en a marre!!!

APRES L’ENFER DES PAVES DES PARIS ROUBAIS,
L’ENFER DES RAILS DU PARIS GRANVILLE.


Récit d’une journée galère comme beaucoup d’autres sur la ligne Paris-Granville, ligne reconnue pour sa garantie des horaires et d’une qualité irréprochable.

En effet, comme quotidiennement, ce matin lundi 7 juillet 2008, je dois me rendre à mon travail à Paris.

Je prends donc le train de 7h53 à l’Aigle. Encore qu’une seule rame au lieu de deux habituellement.

Je parcoure les voitures à la recherche d’une place qui pourra m’accueillir confortablement pour le trajet.

Sans résultats, je dois me réduire à m’asseoir par terre comme la plupart des voyageurs montés comme moi à l’Aigle. (Entre 50 et 80 tout les matins, au cas ou messieurs de la SNCF vous ne seriez pas au courant !)

Le trajet se termine sans autres incidents majeurs, pas de vaches sur les voies, de portes qui ne ferment plus ou autres arguments que les voyageurs habitués du Paris-Granville connaissent bien.

Ah si j’oubliais le malaise d’une femme, certainement due à la promiscuité dans les voitures.


Le retour :

Après une bonne journée de travail, je me dis que pour le retour je vais avoir plus de chance et cette fois-ci voyager dans de bonnes conditions.

Ce n’était sans compter sur la perspicacité de la SNCF, qui pour moi avait due penser à l’augmentation de la ligne en cette période de grandes vacances d’été, avec les départ nombreux de groupes d’enfants.

Encore une fois je fus bien déçu, je pensais que la SNCF choyé ces clients fidèles, en leur apportant confort de voyage, régularité des horaires, etc, etc…Utopie !!!Et bien rebelotte, le calvaire de la journée continu, et c’est un quai bondé de monde qui attend l’ouverture des portes du train.

Encore pour cette fois un train court et plus des trois quart des places réservées. Sachant que je n’y ai pas le droit, je dois me résigner a chercher une place dans l’autre rame, et là même constat.
Ne souhaitant pas refaire le trajet assis dans le couloir, je me suis assis à une place réservée, en espérant que la personne désignée ne seras pas là. Par chance personne ne venu me déloger.

Le train étant en surpoids, on demande par hauts parleurs tout d’abord aux voyageurs qui descendent à Dreux, d’emprunter les transiliens à Montparnasse.

Ceci peu suivi d’effets, on demande ensuite aux voyageurs sans réservation (comme moi d’ailleurs) de descendre et laisser la place aux voyageurs qui ont des réservations.

Ce sera encore sans effet, les plupart des usagers de la ligne en ayant plus que ras le bol.

On fera jusqu’à faire venir les forces de l’ordre sur les quais de peur de débordements.

Le train partira avec plus d’une heure de retard, après l’attente à un responsable je suppose une demande de départ à un responsable de la SNCF.

Arrivée sans autres difficultés à l’Aigle avec 1h10 de retard, où de plus au guichet, on refuse de me remettre un billet de retard prétextant que la SNCF n’est pas responsable de ce retard, que ce sont les gens qui descendent à Dreux qui auraient du descendre du train et que des bousculades on retardées le train.

Que de mensonges, alors que ce retard est dû au manque d’anticipation de la SNCF.

Les usagers du Paris-Granville demandent clairement et simplement à la SNCF de respecter ces obligations envers ces clients habituels qui la font vivre.

Lors de la réunion à Argentan vous nous aviez promis du changements. Nous les attendons encore!

A bon entendeur.



Un usager en colère
Stéphane BONNENFANT

1 commentaire:

Anonyme a dit…

c'est plein de fautes