Usagers du Paris Granville comme Montherlant : J'y vis «sous le signe» de vieille formule militaire «C'est du ...et la suite!»
Usagers du Paris Granville comme Montherlant : J'y vis «sous le signe» de vieille formule militaire «C'est du ...et la suite!»
Monsieur le Président François Minaret de l'association des usagers en colère,
Je me permets d'attirer votre attention sur la situation suivante:
Le 20 février 2009, le train Paris Granville est dans une retard habituel de 10 minutes avec un arrivée prévue 22 h 05 (au lieu de 21 h 50 par son ralentissement en Gare de Sant Cyr ) et aucune annonce générale n'est venue telle que nous pouvons être informé avant l'arrivée en gare d'Argentan. D'autre part, l'ensemble des passagers sont systématiquement contrôlés par une brigade de Gendarmerie située dans l'Orne à partir de la Gare de Surdon – Argentan . Qui ajoutent à l'émoi des passagers ferroviaires obligés de présenter une pièce d'identité «sous la menace de passer quatre heures au poste s'il ne justifie pas de son identité ... Et descente du train» sic l'agent militaire de gendarmerie en charge.
Porté à la connaissance du chef de gare d'Argentan, par questions posées par un agent SNCF descendu du train à cet arrêt qui n'y a eu pas d'information d'incident dans le train; Mais il dit à son collègue «C'est le deuxième contrôle effectué sur le trajet aujourd'hui!» ( ce vendredi 20-2-2009 après midi).
Être mise en cible, le passager de captage du Train Paris - Granville, par une mesure de réquisition du Procureur de la république comme un délinquant potentiel, et obligé de justifier de son identité ...le tout dans une libre circulation des personnes en France !
Beaucoup de pays voisins de la France n'exigent pas de contrôle de pièce d'identité ou prouver son identité dans l'usage de leurs moyens de transport...surtout ferroviaires.
Je vous prie donc de porter sans tarder une mesure de réclamation collective à faire cesser ces troubles de circulation, pour les usagers du Paris Granville dits en colère jugeant la situation inacceptable. Plusieurs de mes voisin(e)s de compartiment se joignent à moi pour signaler cette demande, la plupart étant des travailleur(e)s qui ont besoin de repos pendant le trajet de retour du vendredi soir après une semaine de travail «de l'effort ..nécessaire» sic le Président de la République dans son intervention du sommet social du 18 février.
J'espère que cette proposition sera adoptée, la situation le justifiant.
Veuillez agréer, monsieur le Président, l'assurance de mes sentiments respectueux.
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