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lundi 29 juin 2009

13 juin

Nous étions parmi les passagers du Paris-Granville du samedi 13 juin matin qui a subi un retard de 3h30 à la suite d'un suicide. Ce malheureux événement fait partie des impondérables qu'on ne peut reprocher à la SNCF. C'est aussi un moment difficile pour le personnel. Sa gestion est toujours très longue (attente des autorités, changement de conducteur...), il se traduit dans la plupart des cas par au moins deux heures d'immobilisation.
Je souhaiterai témoigner des dispositions prises par la SNCF pour limiter la pénibilité de cet événement pour les passagers. De l'eau nous a été distribuée au bout d'une heure environ, les pompiers sont passés vérifier si des personnes sous traitement avait besoin de leur médicament et une collation a été apportée aux passagers qui allaient au-delà d'Argentan.
L'information a été réguliière tout en gardant la terminologie et le laconisme caractéristique de la SNCF... et les demandes d'excuses renouvelées à chaque arrêt.
Quoiqu'il en soit, ces dispositions attestent d'une part d'une anticipation par la SNCF (les collations sont des repas longue conservation dédiés à ce genre de situation) et d'une réelle bonne volonté du personnel.
Les désagréments sur cette ligne sont suffisamment nombreux pour signaler aussi les améliorations et efforts
 
Cordialement

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