Pour faire suite au commentaire de arakneo

"Monsieur,

Je peux comprendre votre mécontentement sur la mauvaise qualité de service offerte sur la ligne Paris / Granville car mes collègues contrôleurs et moi partageont le même ras-le-bol sur ces mauvaises conditions de transport qui pour nous sont des mauvaises conditions de travail.

Mais de là à attaquer le personnel, je ne vous suis pas. Car contrairement à ce que vous pensez, pendant les fêtes, le personnel de la SNCF travaille. Je suis contrôleur et au lieu de fêter Noël en famille, je me suis retrouvé en découché la nuit du 24 au 25 décembre dans un Foyer à Brest et le 25 décembre, je me suis levé de bonne heure pour faire le TGV Brest / Paris de 6 H 48.

Alors s'il vous plaît, un peu de respect pour un personnel qui doit sacrifier les fêtes familiales pour que vous puissiez prendre le train.

Stéphane"

Ceci était un commentaire au message "aux armes citoyens...".

Le souci de cette absence de personnel et bien la preuve que la direction de la SNCF se moque des usagers de notre ligne et de biens d'autres.

Car comme dans toute société, il peut y avoir des gens en vacances et d'autres qui travaillent. Mais dans toute bonne société, on ne va pas négliger le travail à effectuer.

Les agents (contrôleurs, conducteurs, ...) demandent, ce qui est logique, des congés et certainement plus particulièrement à cette période. Maintenant, dans une bonne gestion, il y'a des congés d'acceptés et d'autres de refusés. Auparavant, il y'avait même du personnel qui devait être, comme d'astreinte, pour palier aux différentes absences qui peuvent arriver. Maintenant, plus rien, juste des suppressions comme réponse à tout imprévu. Ce n'est certainement pas le cas sur les lignes de TGV car cela les intéresse pas des lignes comme la notre.

Maintenant, pour les agents, essayez de comprendre que les usagers souffrent comme vous de la situation et que malheuruesement, le seul personnel qu'ils voient, c'est vous. De plus, la SNCF va de part les messages qu'ils passent et qui sont pourtant bien rare, indiquer des causes vous mettant personnellement en cause d'où une grogne encore plus forte envers vous.